Je sais que la somme des angles d’un triangle est égale à deux droits ; je sais aussi que cette proposition vaut pour tous les triangles sans exception. Mais comment le saisje ? La réponse la plus immédiate serait : parce que je le vois, parce que j’en fais l’expérience sensible. Alors, nos connaissances viennent-elles entièrement de l’expérience ? Cette question est cependant lourde de présupposés : se demander si nos connaissances viennent entièrement de l’expérience, c’est poser d’emblée que l’expérience sensible est bien une source de connaissance ; or, cela ne va pas de soi. Car enfin, si l’expérience sensible est toujours singulière, et que la connaissance a une valeur universelle, comment la seconde pourrait-elle provenir de la première ? Que la somme de tous les angles des triangles que j’ai pu rencontrer soit égale à deux droits, cela ne me permet pas de dire que cette proposition est universellement valable, mais seulement qu’elle semble généralement vraie. C’est là qu’est tout le problème : nous faudra-t-il soutenir que l’expérience sensible, non seulement n’est pas la seule source de la connaissance, mais que la connaissance a en fait une toute autre origine ?

I)Nos connaissances dérivent de l'expérience

A°) car tout d'abord l'expérience fonde nos connaissances elle est importante parce que sans elle nous n'aurions pas de perception du monde . L'expérience sensible que l'on peut définir comme étant l' ensemble des connaissances que l'on acquiert à partir de un ou plusieurs cas particulier est une notion de preuve qui permet de trouver la connaissance ,ce procédé est appelé induction par exemple les feuilles tombent en hiver donc l'année prochaine elles vont tomber en hiver chaque individus explore le monde et intégré donc des données sensible et psychologique Notre intelligence se développe grâce à notre rapport sans cesse étendu et approfondi à notre environnement.

B)nos connaissances