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‘’Partout dans le monde, les femmes sont les principales victimes de la pauvreté, de la marginalisation et de la violence. Leurs droits sont bafoués par les mariages précoces, la discrimination active et le manque d’opportunités. Pour un trop grand nombre d’entre elles, le fait d’être née filles reste une condamnation à subir l’inégalité et l’injustice leur vie durant. En plus de constituer une atteinte aux droits fondamentaux, cette situation freine les communautés et les sociétés sur la voie du développement durable.
L’éducation est l’arme la plus efficace pour rompre ce cercle vicieux. L’éducation donne aux filles des outils pour façonner le monde selon leurs aspirations. Elle peut retarder les mariages précoces, éradiquer la violation des droits de la femme et contribuer à la planification familiale. Elle est un remède efficace contre la maladie et la mauvaise santé. Investir dans les droits des filles est tout simplement ce qu’une société peut faire de mieux. Car les effets de cet investissement, dépassant largement les individus, s’étendent à la santé et au bien-être des sociétés pour de longues années à venir’’. IRINA BOKOVA ; Directrice de l’Unesco
Que tous les hommes, naissent libres et égaux en droits ! Ce que précise en clair la charte des droits de l’homme. Par contre, un dilemme persiste en clair dans l’évolution social du genre humain ; ce, au niveau mondial, mais pire dans les pays sous développés telle est le cas flagrant en Haïti. Les conditions socio économiques des femmes haïtiennes induit a la violation de leurs droits, de leur personne ainsi qu’à leur statut de sécurité sociale humaine. Nous avons cité plus haut le genre humain, ce concept se différencie du sexe d’un être ; pour en citer les recherches : ce concept récent qu’est le genre est étudié en sciences sociales et en médecine dont, par faute de définition, on peut tout simplement tenter d'appréhender le sens au travers les trois