L’idée de paragraphe précédente nous a bien démontré que de siècles en siècles notre perception de notre environnement change et parallèlement la vérité change elle aussi. Cela nous amène à considéré le sens de vérité pour chacun d’entre-nous. La vérité est l’affirmation de ce qui existe et la négation de ce qui n’est pas; donc, finalement, l’accord de nos jugements avec la réalité. Cependant, si nous ne percevons pas tous les choses et les problèmes philosophiques de la même manière, cela nous amène à la problématique suivante : « La vérité est-elle différente pour chacun d’entre-nous, ou y a t’il une vérité universelle commune à tous les êtres dôté de raison? ». Chaque personne sur Terre est unique et chacune d’elle perçoit son environnement de manière différente. Chaque société possède sa mentalité et c’est cela qui la distingue des autres. Le niveau de connaissance des gens est différent et leurs pensés sont elles aussi dissemblables. Ce sont les valeurs des gens qui définissent leur point de vue et les valeurs ne sont pas toutes communes à tous les humains. Tout ceci vient justifier que chaque être humain est unique et qu’ainsi leur perception du réel, qu’est l’Univers telle que nous le définissons aujourd’hui, est différente ce qui engendre inévitablement une perception du sens de vérité différente pour chacun d’entre nous.
Nous avons appris que la vérité était la conformité de notre pensée avec ce qui est. De plus nous avons démontré que la certitude du sens actuel de la vérité n’était pas démontrable et par la suite qu’il n’était pas dans tous les cas absolus. Et en terminant nous avons réuni ces énoncés avec la problématique primaire tirée de la formule : « À chacun sa vérité » pour conclure que le sens de vérité est différent pour chacun d’entre-nous. Cette formule veut tout simplement nous indiquer que chaque être dôté de raison peut avoir une manière de pensé et une opinion différente des autres. Le sens de vérité, ou l’idéal est perçu différemment