Philo shinto
Tout d’abord, le mot kami signifie : divinité ou esprit vénéré dans la religion shintoïste.
Les kamis se retrouvent sous les formes les plus diverses et les plus inattendus. Ceci à donc permis au croyant de réaliser que tout le monde possède un esprit de violence (qu’il faut neutraliser par des rites appropriés.
Certains Kamis sont même dangereux, tels que « les dieux des épidémies » et les « dieux des insectes », puisque ce dernier est le prédateur du riz.
Étant donné que les shintos ne voulaient pas que les croyants soient influencés par les dangereux Kamis, ceux-ci ont donc décidé d’infliger une malédiction, infligés par les Dieu à l’auteur d’une mauvaise action (soient un tsumi). Cette notion fût inspirée par le bouddhisme.
Par contre, au fil du temps, le mot tsumi (ou kegare, qui signifie « souillure »), sera de plus en plus utilisé dans la société normale, lorsque nous parlerons d’infraction sociale.
Bref, la définition du mot tsumi, kegare ou tatari est à la fois trop vague et trop générale. Il est donc impossible de savoir la définition exacte de ceux-ci. Par contre, nous savons que les shintos prennent l’idée d’une malédiction très au sérieux et c’est pourquoi ceux-ci ne font pratiquement jamais de mauvaises actions.
Purification
Pour échapper aux conséquences d’un tatari imprudemment encouru, il suffit de « purifier » son entourage ou soi-même pour être pardonné et être immunisé du pouvoir maléfique du kami. Ceci peut signifier : faire des actions banales telles que « balayer, nettoyer, laver » son entourage. Par contre, lorsqu’il s’agit d’un tatari encouru avec la mort (un meurtre), pour se faire pardonner, il faut utiliser l’abstinence à court ou long terme.
Textes sacrés
La source la plus importante pour les shintos est le Kojiki.
Tout d’abord, le Kojiki (qui signifie : « Chronique des faits anciens ») est un recueil de mythes concernant l’origine des îles formant le Japon et des dieux. Débuté par l’empereur Temmu et