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279 mots 2 pages
Epicurisme (Epicure 341-270)
Ils proposent une conception très matérialiste du monde : le corps et l’âme, comme tout ce qui existe dans la nature, sont composé d’une infinité d’atomes minuscules. La mort n’est donc que le « désassemblage » de ces atomes qui composaient le corps et l’âme. La mort n’a rien d’inquiétant puisque c’est le propre de toutes choses composées de se décomposer : c’est l’atomisme. Ces combinaisons d’atomes ne viennent pas d’un quelconque agencement divin mais seulement du hasard même : la mort devient alors un événement indifférent, qui ne doit plus troubler l’homme. « la mort de nous concerne pas », « tant que nous existons, la mort n’existe pas et, quand vient la mort, nous n’existons plus », nous ne pouvons donc avoir aucune expérience, aucune sensation de la mort. L’homme doit se concentrer sur les sensations pour être heureux. L’homme doit profiter des plaisir de la vie (hédonisme) , il ne doit pas craindre les choses qui le troublaient par croyance ou par superstitions. Pour etre parfaitement heureux, il faut tout de même choisir ses plaisirs, car tous les plaisirs ne sont pas souhaitables. Epicure distingue ainsi 3 plaisirs : * Les plaisirs naturels et nécessaires pour la survie, qui apaisent l’âme (manger quand on a faim par exemple) * Les plaisirs naturels mais pas nécessaires (manger des plats raffinés, boire de l’alcool), il faut donc en rester maître pour éviter les effets désagréables. * Les plaisirs non naturels et non nécessaire (le plaisir d’être riche, célèbre), qu’il faut bannir car ils sont ceux du jouisseur. Ils sont appréciables mais finissent par nous rendre

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