Philosopher c'est secouer le joug de 'autoriter
INTRODUCTION
« Philosophé, c’est secouer le joug de l’autorité », en quoi cette définition éclaire elle la littérature des lumières. Pour répondre à cette question, nous devrons tout d’abord définir ce qu’est philosophé, ainsi que ce qu’est le joug de l’autorité, puis enfin caractérisé les idée des lumières mis en valeur par cette définition.
Philosopher, verbe qui désigne l’action de faire de la philosophie, vient du grec philosophia, philos signifiant ami et sophia le savoir signifiant ainsi amour de la sagesse. Le fait de philosopher, pourrait donc se rapporter a une action de sagesse, de réfléchir par soit même sur des sujet très divers.
Être sous le joug de quelqu’un/quelque chose, signifie être soumit a son autorité. Le joug de l’autorité « voudrait » donc caractérisé une certaine dominance sociopolitique qui serait remit en cause par le fait de philosopher.
En dernier lieu, les philosophes des lumières était une congrégation de penseur, remettant fréquemment en cause la société et la politique de leur époque. Ce qui est parfaitement illustré par la définition étudié ci-dessus.
Pour répondre a cette question, nous pourrons donc étudier dans un premier temps en quoi les philosophes des lumières remettaient t’ils en cause l’autorité en particulier la monarchie absolue et l’obscurantisme religieux, et dans un deuxième temps, en quoi les philosophes des lumière revendiquaient une société et des valeurs nouvelles comme par exemple une société déiste ou encore un model de pouvoir égalitaire.
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Les philosophes des lumières, grands penseurs du 18ème siècle, avaient pour principale idée une remise en cause totale de la société de leur époque. Le régime politique en application étant la monarchie absolue, nous pouvons très aisément admettre que les grands penseur y voyaient un obstacle à leur idéologie. Pour appuyer cette affirmation, nous pourrons en premier lieux cité un texte de Montesquieu, ‘’Lettres persannes’’, qui nous montre