Philosophie de Parménide

Parménide a basé sa réflexion sur une question fondamentale,« qu’es ce qui est réel ? ». Il eu plusieurs révélations et il tenta de les expliquer dans le poème « De la nature », inspiré de la déesse de la justice. L’œuvre est divisé en deux parties la première sur l’opinion et la seconde sur la vérité. Selon lui les faits sont toujours biaisés par la perception ( l’opinion) . Il est le premier à avoir dit que lorsque l’on voit se déployer du mouvement devant soit et que notre perception nous affirme que le mouvement est bel et bien arrivé , le mouvement est inexistant, il s’agit d’une erreur commise par la perception. Pour connaître la vérité de ce mouvement, il faut imaginer une autre chose qui n’est pas perçu et qui est la vérité sur se que l’on perçoit. Du texte il est possible de retirer les idées principales de Parménide, « l’être est », « Le non-être n'est pas et il ne faut pas confondre l'être et le néant. », « L'être et la pensée ne sont qu'une seule et même chose. » ainsi que « Rien ne change, tout est permanent. », en d’autre mots l’être est vérité et existant, tandis que le monde de la perception n’existe pas. Aussi, il fut le premier à déclarer que la Terre est ronde, et qu’elle se trouve au centre de l'univers. L'existence n'est pas engendrée, mais en fait elle est immobile. Elle est une et parfaite, la forme la plus parfaite est la sphère, dont tout les points sont à égale distance du centre, donc la terre était ronde, suite à sa déclaration sur la terre le philosophe Posinodios, déclare que Parménide aurait élaboré une théorie des zones climatiques, qui diviserait la terre en cinq zones, deux zones glacées inhabitables aux pôles, une zone torride infranchissable sur l’Équateur, et deux zones tempérées. Il tente d’opposer la raison à l’expérience, car pour lui la logique est source de vérité Dans la facette religieuse Parménide croit en l'existence d'un être absolu à l'origine du monde, mais que l'homme est