Philosophie
Dans Par de la le bien et le mal, Freud donnera l'illusion que le sujet a de posseder un « moi » qui contrôle la pensée. Nietzshe, par la suite, destitura la conscience de son privilège de conscience car dans Métapsychologie , il montre que la conscience ne peut tout expliquer, et en particulier ne peut expliquer tout les fondements de nos actes. Les maladies et les troubles psychiques sont alors pour Freud la preuve évidente d'un mécanisme caché interieur au patient. Je ne peux voir en moi comme dans un miroir. L'inconscient ne peut d'essence pas être perçu consciemment. Freud prouvera son existance en decryptant des messages qui reviendraient à la conscience. Mais l'apparition de l'inconscience provoque un choc dans la philosophie du sujet. L’idée d'inconscience remet alors en cause l'unicité du sujet. Dans ce cas, est ce moi même qui agis ou bien mon conscient qui me fait agir ? Cette reconnaissance ne nous conduit-elle pas à l'idée d'un determinisme psychique qui fait que la definition du sujet est remise en question ? L'homme ne serait alors t-il plus maitre de lui même, de ses actes et de ses pensées ? Etant ignorant des motifs inconscients qui le poussent à agir, il perdrait alors aussi sa liberté et deviendrait le jouet d'une obscurité sur lui même ? Si cette obscurité est affirmé, est elle ce qui rend l'homme aveugle à lui meme ?
D'après la théorie de Freud, l'inconscient est un ensemble d'idées , de perceptions, d'émotions constituant le psychisme, influant sur nos comportement mais inaperçues de la conscience. Alors elle ne pense pas, ne raisonne pas mais est esclave de ses pulsions. On ne peut que reconnaître que nous sommes incapable de saisir toute la signification de nos paroles. C'est donc une réalité de notre esprit qui entraîne notre inconscient à faire sortir des désirs ou des fantasmes qui contiennent elle même des désirs refoulés. Ces désirs ne peuvent pas arriver jusqu'à la