Physique
Jkdkzoaoaksjdkzlaoaoaoa
Jskzoaoaejebejdudyerer
Jskaoaoaizjdbdnfkdkdkzieur
Jziaoajzjevevevevveveveve
Skzkaoaozozlzlzlzlzkzkkzkzlss
Iqkskzkzkzlzlzl
Kskzoaoaoakakababsbfbfkffffff
Fdddddkziaooaozoalza1dkdiagfgkkgbrjeififififlf
Ifkfkfifififogogogigifigifkflfkfl
Fkfidkfudidieieieififofkflfkf
Dkckfkfieieiririf
Jziaoajzjevevevevveveveve
Jzkzizjsbdbdkdifkfnfndnzkzkzkzlzzkzkek
Aaaekkzkskskzkz
Dkdkdoaoaiajzjejekekekekekekekekekekeke
Skzkzssjskqkqkalaaoaozozoeoioioi
Vskskaoaoaizieieieieiejenensnsnsn
questions juives » : à ce titre, il a supervisé l’arrestation puis la déportation d’environ 1 600 Juifs vivant dans la région, dont la plupart ont été assassinés en Pologne dans le cadre de la solution finale.2Le 6 mai 1981, entre les deux tours de l’élection présidentielle, surgissait « l’affaire Papon » : alors que le ministre du Budget du gouvernement Barre poursuivait une carrière brillante dans le mouvement gaulliste et la haute fonction publique, ses activités criminelles sous l’Occupation ont été révélées par Le Canard enchaîné. La justice a été rapidement saisie de plaintes déposées par les parents des victimes.3Le 2 avril 1998, au terme de plus de seize ans de procédure et de six mois d’un procès fleuve, Maurice Papon est condamné par la cour d’assises de la Gironde à dix ans de prison ferme pour complicité de crimes contre l’humanité. Il lui est reproché d’avoir apporté son « concours actif » à l’arrestation puis à la déportation des 72 victimes représentées par les parties civiles. En revanche, il est acquitté du troisième chef d’accusation, celui de complicité dans leur assassinat à Auschwitz.4Que s’est-il passé ? Comment les événements criminels dévoilés en 1981 par voie de presse, devenus bientôt objet judiciaire, ont-ils à leur tour donné lieu à un procès-événement ? Si un événement ne saurait se réduire à sa manifestation (médiatique), celle-ci peut jouer le rôle d’un révélateur (après tout, les crimes de