Pierre Foglia, est l’un des journalistes et chroniqueurs le plus reconnu aujourd’hui au Québec. Il a fait son entrée au journal la presse, en 1972, et ne tarda pas à attirer derrière lui un public inconditionnel qui ne cesse d’augmenter au fil des années. On ne peut s’empêcher de dire qu’il a un sens critique remarquable, malgré que, très souvent, ses textes sont à contre-courant de l’opinion public. Toutefois, ils reflètent toujours une réalité incontournable. On en a pour preuve un article qu’il a publié récemment dans la presse, intitulé : «communicons», dans lequel il émet son opinion de ce que c’est, à ses yeux, la communication et les lettres d’aujourd’hui. D’abord, il a pris le soin d’expliquer comment, depuis qu’il était enfant, c’est survenu ses connaissances des lettres. Ensuite, nous fait remarquer à quel point nous vivons le contraire aujourd’hui. Il y a lieu de croire que, Pierre Foglia, n’a pas eu une enfance facile, ou du moins comme ceux des enfants d’aujourd’hui. Vu que, enfant, il devait accompagner sa mère à la bibliothèque pour y faire le ménage avec elle. Cependant, il était assez intelligent pour se rendre contre qu’il doit lire comme un fou, même si c’était juste lire pour lire , lire pour le fantaisie .autrement dit ,lire pour l’histoire. En revanche, la lecture ne tardera pas à quitter le stade d’une simple habitude de vie pour faire partie intégrante de sa vie. Ce que l’auteur explique comme tel dans ses propos : « Au début je lisais juste pour l’histoire |….| je suis entré en littérature à partir de là. A partir de mort a crédit l’histoire ne m’a pas suffi, et même devenait moins important». A travers cette période de sa vie, Pierre foglia, montre à quel point que la lecture s’avère d’une importance capitale. Ce qui n’est pas nécessairement une mode de vie, mais plutôt quelque chose essentielle pour le développement de l’esprit, la formation du gout, du sens critique, du jugement. Disons Un outil