Kafka "la hache qui brise la mer gelée en nous"
La littérature nous permet de penser, de réflechir à des idées auxquelles on n'aurait pas pensé avant. Par exemple dans candide de voltaire, il nous fait reflechir à propos du bonheur, du moyen pour le trouver. La nouvelle, bien que plus courte n'en est pas moins riche au niveau du contenu, au contraire, la fin qui stimule d'autant plus le lecteur à penser sur ce qu'il découvre à la fin. Par exemple la nouvelle de dino buzatti, douce nuit, un couple est dans une maison de campagne et la femme a un mauvais présentiment. La mari regarde plusieurs fois dehors mais ne remarque rien. Pourtant le narrateur nous décrit un massacre abominable qui se passe sous leurs yeux: le massacre des insectes et des animaux pendant la nuit. C'est le cas aussi pour la poésie qui nous confronte parfois a une vision du monde étrange qui semble iréelle, mais qui en nous questionnant bouleverse nos pensées précédent la lecture du poème. Par exemple, yves bonnefoy dans les planches courbes, nous raconte une légende de saint julien l'hospitalier. Mais ce poeme a une signification totalement différente. Les perso sont changés, ainsi Julien et le lépreux sont remplacés par un géant et un enfant et les thèmes principaux sont le désir de rejoindre l'autre rive et la quete de l'identité. Ainsi Bonnefoy nous offre sa vision de la légende.
Toutefois il est possible de ne pas être d'accord avec le point de vue des écrivains. La littérature nous enrichit sans jamais nous "enfermer" comme la mer serait prisonniere de la glace dans une