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Pierre manent ; cours familiers de philosophie politique, chapitres 1, 2, 3, 4, 5.

9497 mots 38 pages
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Cours familier de philosophie politique

Intro
Comment nous orienter ds le monde social et politique ?
> qu'est ce qui pr ns fait autorité ? ( ns en tant que citoyen d'une démocratie de l'an 2000 ) nous citoyens ns reconnaissons l'autorité ds le domaine théorique la science et ds le domaine pratique la liberté > les 2 autorités universellement reconnus ds nos sociétés ! certains reconnaissent aussi l'Église ou une autre loi religieuse > la double autorité de la science et de la liberté donne le ton à nos sociétés
! laisse de coté la question de leur bon sens
« nos sociétés sont organisées pr la science et pr la liberté . C'est là un fait majeur de notre situation présente «

peut on parler de LA science ? : on oppose les sciences de la nature(maths instrument indispensable) et les sciences humaines qui st rebelles aux maths peut on parler de LA liberté ? Certains des plus grands conflits du 20ème s ne naquirent ils pas du fait que les hommes se font des idées différentes de la liberté ? > liberté des libéraux vs liberté des marxiste ds chacune de ces notions existe un principe actif très simple qu'il importe de dégager
. la science : ce n'est pas seulement une cnse exacte, il y a un projet inédit : il s'agit de voir le monde tel qu'il est, non tel qu'il devrait être, le rendre entièrement visible à l'œil de l'esprit > d'un point de vue moral : la volonté d'écarter tt ce qui relève de nos désirs (volonté la plus frappante chez Machiavel ) > d'un point de vue gnéséologique : l'effort méthodique pr porter le monde devant l'oeil de l'esprit tt entier . Max Weber conférence prononcée à la fin de la première guerre mondiale parle de la rationnalisation et de l'intellectualisation croissante dues à la vie moderne « nous savons ou nous croyons qu'à chaque instant nous pourrions, pourvu seulement que nous le voulions, nous prouver qu'il n'existe en principe aucune puissance mystérieuse et imprévisible qui

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    Depuis maintenant dix ans, le propos sur le concept d'autorité envahit tous les secteurs de la vie sociale. Il produit d'une part des discours politiques et médiatiques présentés comme des relais de l'opinion publique. D'autre part, on voit émerger des discours et des débats contradictoires entre les différentes disciplines des sciences humaines. Cette analyse de l'autorité à l'école primaire découle d'un questionnement principal : Quels sont les éléments qui légitiment l'autorité des individus en présence au sein de l'institution scolaire ? À ce questionnement principal s'adjoint différents questionnements secondaires : Existe-t-il des variations d'autorité en fonction de la légitimité accordée par les élèves à l'individu qui l'exerce ?….

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  • Article histoire médievale
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    Issu d’un milieu relativement modeste qui ne le destinait pas à fréquenter les puissants, entré très jeune au monastère Saint-Géraud d’Aurillac, il apprend les premiers rudiments qui feront de lui un homme de science et un homme de lettres. Homme de science, il l’est d’abord par sa profonde connaissance des mathématiques, qu’il apprit lors de son séjour en Catalogne où, dans les années 967, il était allé parfaire ses études à l’invitation du comte Borell. Homme de lettres, il fut le porte-parole, l’épistolier, d’un certain nombre de grandes figures de son temps : l’archevêque Adalbéron de Reims, dont il a été le collaborateur, évidemment ; mais aussi parfois Hugues Capet lorsque celui-ci avait une requête importante à présenter, et qu’il voulait flatter son correspondant. Ainsi, quand il s’est agi de solliciter, pour son fils Robert (le futur Robert le Pieux), la main d’une princesse byzantine, Gerbert rédigea l’un de ces morceaux choisis de littérature épistolaire qui ont fait sa gloire : « La noblesse de votre race autant que vos exploits glorieux nous encouragent et même nous contraignent à vous aimer, car vous paraissez tel que votre amitié puisse être jugée la plus….

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  • A-t-on besoin d'apprendre à être libre?
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    A-T-ON BESOIN D’APPRENDRE A ETRE LIBRE Si on demande à un passant quelconque dans la rue s’il est libre, il nous répondra « Oui, bien entendu. » peu importe le passant que l’on prend. Maintenant si on lui demande de définir la liberté le plus simplement possible, la majorité répondra « La liberté c’est faire ce que je veux quand je le veux. » Toutefois ces passants font-ils tout ce qu’ils veulent simplement parce qu’ils en ont envie ? Non, alors qu’ils sont bels et bien libres.….

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  • La publicité au début du xxeme
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    La question ne se pose même pas, tous les actes humains ou plutôt tous les phénomènes quelconques étant conditionnés par des rapports nécessaires dérivant de la nature des choses, dont la détermination est précisément objet de science. La Publicité peut se définir: «….

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    Comment Bruges a acquis son autonomie politique et la affirmer ? Poser cette question, revient à met en évidence la contradiction entre deux termes : l’autonomie et l’autorité politique. En effet, autonomie ne veut pas être seulement dire indépendance mais aussi la possibilité pour un groupe de s’affirmer dans le cadre du pouvoir politique : le Patriciat urbain. Pour répondre à cette question, après avoir rappelé comment la ville était dirigée avant l’autonomie, sous la tutelle seigneuriale, et pourquoi l’autonomie s’est mise en place, nous montrerons que l’autonomie a permis l’affermissement de l’autorité politique. Tout d’abord, avant l’essor de la ville, principalement grâce au commerce, la cité était dirigée par les seigneurs.….

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  • Pascal - la connaissance grande idées
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    Il nous explique respectivement la différence entre la raison et l’instinct. En effet, la raison est en perpétuelle évolution, elle est perfectible et donc peut entraîner le progrès technique ; tandis que l’instinct à contrario n’évoluera pas, il reste toujours le même ne permettra aucun développement, mais permettant la survie des différentes espèces. Il s’oppose donc au fait que l’on puisse « mettre en parallèle » ces deux notions afin de comprendre la raison humaine….

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  • Cannibale de montaigne
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    Je voudrais reprendre l’exemple de la science, ils m’ont expliqué ça hier, ils….

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    Introduction Questions de la philosophie politique : « Où suis-je ? et Quelle heure est-il ? telle est de nous au monde la question inépuisable »….

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    Document 1 : Science et progrès Notre société semble saisie par une nouvelle passion : la peur comme figure jusqu’alors inédite du lien social. C’est sans doute la question du nucléaire qui a ouvert le processus, du seul fait qu’elle entremêlait de façon inextricable l’idée d’une révolution scientifique majeure, celle d’une ressource énergétique considérable et aussi celle d’une formidable puissance de mort. Depuis, les controverses se sont intensifiées, diverses dans leur nature, différentes dans leurs enjeux, à l’occasion des OGM, de la crise de la vache folle, des débats sur le clonage, des révélations sur les changements climatiques : tout se passe désormais comme….

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  • kant
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    Anciens ainsi nous ne sommes libres qu’en agissant et tel qu’il ne saurait y avoir de liberté hors de l’action, la pensée moderne, en identifiant la liberté au libre arbitre, transformait celle-ci en un conflit intérieur à la volonté elle-même et condamnait cette dernière à se contempler éternellement dans un débat infini, incapable dès lors de sortir d’elle-même pour être au monde. En opposant la volonté à elle-même, la pensée du libre arbitre « la paralyse et l’enferme à l’intérieur d’elle-même ; le vouloir dans la solitude est toujours velle et nolle, vouloir et ne pas vouloir en même temps ».….

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    but, elle a donc dans cette mesure échoué. De plus, la science s’est avérée être parfois dangereuse pour l’Homme, et il a alors eu besoin de fixer des limites à la science pour éviter qu’elle ne devienne nuisible. Comment se fait-il que la science et la recherche scientifique doivent être limitées alors que leur but est d’accéder à la connaissance complète de l’Univers ?….

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    894 mots | 4 pages

    La question des sciences et des arts a rejoint ces deux philosophes. L’humanité s’enrichit-elle à mesure que les sciences et les arts se développent? Selon Descartes oui, puisqu’il affirme que les sciences et les arts peuvent certainement approfondir les connaissances de l’homme pourvu qu’elle soit appuyée par les mathématiques. Tandis que Rousseau non, puisqu’il affirme dans un de ses discours que les sciences et les arts ne font qu’empirer l’homme. Les deux philosophes ont certainement raison de leurs points de vue, car l’avancement des sciences fait en sorte que les humains sont plus intelligents et rationnels, mais au contraire elle peut aussi leur nuire puisqu’ils font juste évoluer l’homme non pas intérieurement, mais extérieurement.….

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