Plan d'une étude de texte des lettres de la marquise de m*** au comte de r*** lettre lii
a) La plainte élégiaque.
-Les interjections/ Apostrophes
-Les nombreux superlatif absolu
-Les interrogatives qui formulent des reproches. Les insultes du marquis à travers les apostrophes.
- Epanorthose // Bérénice.
b) Un esprit contrarié.
- Relative détermination qu’elle exprime à travers l’impératif. Détermination aussi à travers l’opposition entre le passé, le présent et le futur.
- Questions rhétoriques qui soulèvent le doute et qui amènent une réflexion qui souvent contrarie les propos précédemment énoncé.
II. Une conception de l’amour.
a) Hantise de la perte, obsession de la possession.
- Les nombreux verbes « perdre »
b) Question du cout de l’amour et exigence de réciprocité exacte.
- Métaphore marchande du prix de l’amour. Lorsque que l’amour n’a pas une réciprocité exacte idée qu’il en coute qqch à l’amant délaissé.
III. Tradition de la belle éplorée.
a) Le sacrifice.
Idée de sacrifice de la marquise, elle fait passer le bonheur du comte avant le sien propre. Compassion pour son ennemie. Au début elle ne la nomme que par des périphrases pour la nomme complètement à la fin de sa lettre > crescendo qui va jusqu’à l’amitié.
Promesse de l’amour éternel (fin de la lettre).
b) Rupture classique.
On redemande le portrait et les lettres. Mise en avant du souvenir.
c) Les larmes.
Tradition des larmes qui marquent la lettre et témoignent de la douleur.
Tradition des larmes qui marquent la lettre et qui témoignent de la douleur >> Héroïdes d’Ovide
ÉPÎTRE XV SAPHO À PHAON « J'écris, et mes yeux sont noyés dans d'abondantes larmes : vois combien il y a de taches à cet endroit de ma lettre. »
Postérité>> JULIE OU LA NOUVELLE HELOISE, Jean-Jacques Rousseau. Lettre XXVI à Julie. (saint preux)
« Julie, ô Julie ! ô toi qu’un temps j’osais appeler mienne, et dont je profane aujourd’hui le nom ! la plume échappe à ma main tremblante ; mes larmes inondent le papier ; j’ai peine à