LE MARCHE DU TRAVAIL
Le chômage feminin est plus élevé que celui des hommes : Cependant le taux d’activité feminine continue à progresser. En effet, en France, entre 1962 et 1986, le nombre de femmes actives a augmenté de 4 millions. (INSEE 1986) Qu’elles aient des enfants ou pas, la majorité des femmes continuent à travailler. C’est le « cumul » : travailler et fondée une famille. La société trouve normal qu’elles assurent leurs travail , mais aussi la gestion de la maison et des enfants. Ces « nouvel les avanturières » acquièrent ainsi leur autonomie financière, facteur indispensable à leurs émancipation … mais peut-on, dans ces conditions, parler à coup sûr de libération ?
Malgré les protestations des publicitaires qui affirment ne plus « maltraiter les femmes », ces dernières, objets sexuels par excellence restent le soutien idéal pour faire vendre bijoux, pantalons, voitures… même si le message n’est pas toujours direct.
Il y a ce que l’on appelle une presse « féminine ». Elle reproduit et transfert, généralement, des modèles feminins en accord avec le consommation ; elle maintient, comme le publicité, les stéréotypes traditionels de la femme-objet, mère et épouse, séductrices pour son homme, mais aussi de la femme actives, belle, mère et cuisinière, de la femme moderne qui fait tout, réussit tout, vit a cent kilomètre heure. Cette presse féminine aux multible interêt economique est diffusée à un tirage énorme. Ce n’est pas le cas de la presse « féministe » ! Tout en dénoncant le réalité sexiste de la société, elle vise a analyser, à appronfondir les désirs, les difficultés, les activités, les choix des femmes, être humains a part entière.
Dans le supérieur, les filles représentent 56% des étudiants et sont largement majoritaires en médecine ou en