politique monetaire
▪ Les instruments d’ordre quantitatif :
' Le plafond de réescompte qui limitait les possibilités d’accès au refinancementdes banques.
' La réserve obligatoire qui obligeait les banque de bloquer une partie de leurs exigibilités dans un compte au niveau de BAM.
' L’encadrement du crédit qui limitaitle volume de crédit que pouvait accorder chaque banque.
▪ Les instruments d’ordre qualitatif :
' Le soutien des crédits octroyés aux secteurs prioritaires en les exonérant desinstruments de control direct quantitatif.
' Une réglementation des taux d’intérêts discriminatoire en faveur du financement de secteurs d’activité particuliers.
' Les emploisobligatoires qui épuisaient une grande partie des exigibilités des banques pour les orienter vers le financement de secteur prioritaires ou le financement du déficit budgétaire.
Aux années 70 on assiste àl’émergence de la théorie néo-libérale qui conclu que le développement économique passe par un développement financier, et qui dénonce la politique de répression financière. Alors le Maroc enconcertation avec le FMI et la Banque Mondiale procède à la mise en place du PAS ou les réformes financières s’inscrivent comme mesures de premier plan. Cette phase de libéralisation financière connaîtra :▪ L’abandon de la politique quantitative par :
' Le désencadrement du crédit qui va entraîner une nette progression des crédits.
' La suppression du réescompte.