L’Organisation des Nations unies peut-elle vraiment être considérée comme une solution de rechange possible à l'État ? Justifiez votre réponse.

Bien que L'Organisation des Nations Unies (ONU) ne soit que l'une des solutions envisageables de rechanges à l'État, celle-ci pourrait être LA solution. Premièrement, la plupart des États sont déjà regroupés dans l'organisation. Deuxièmement, l'Organisation des Nations Unies assure une certaine coordination pacifique entre les États et troisièmement, l'ONU « possède un pouvoir de persuasion qui est considérable» , et ce, même si l'ONU ne peut pas forcer les États à s'entendre. Donc, dans les relations internationales, l'ONU pourrait être grandement considérée dans le futur et principalement comme une solution de rechange à l'État. D'autant plus que l'Organisation des Nations Unies a déjà dénoué plusieurs crises dans le passé qui auraient pu devenir des guerres.

Commentez l'assertion suivante :
« Le pouvoir du premier ministre du Québec est surtout un pouvoir d'influence-incitation. »

Le pouvoir du premier ministre du Québec est un pouvoir d’influence-incitation, car le premier ministre du Québec n’emploie pas la force comme cela est le cas avec le pouvoir d’injonction-coercition. De plus, alors que le pouvoir d’influence-incitation repose sur le fait de pouvoir proposer des avantages en échange d’un comportement recherché. Les avantages peuvent être de plusieurs natures, tels qu’une récompense profitable, une distinction ou bien encore des renseignements qui seraient perçus comme essentiels. Le premier ministre du Québec utilise ce genre de récompense, celui-ci récompense ses délégués en leur accordant des distinctions prestigieuses et des statuts plus élevés dans la hiérarchie politique en échange d’un certain comportement de leur part.

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Analysez le cas suivant en faisant appel à la notion de légitimité :
«Après une année au pouvoir, un premier ministre élu annonce sa démission pour des