Dans un premier temps, le personnage principal est obsédé par le temps. En effet, dans le passage suivant, on peut voir qu’il compte les heures et le minutes qui le rapprochent petit à petit de son dernier souffle : « Encore deux heures et quarante-cinq minutes, et je serai guéri.» (p.146) Dès le premier jour d’emprisonnement il sait exactement le temps qui lui reste à vivre et malheureusement il ne peut rien faire pour modifier son triste destin. De plus, il attenu l’idée de la mort en la décrivant comme une guérison, c’est ce qu’on appelle un euphémisme. Il a eu tellement de temps pour réfléchir que la mort l’angoisse toujours, mais maintenant il l’accepte positivement. Il pense que tous ses problèmes physiques seront réglés et ne souffrira plus dans ce monde qui à décidé son misérable sort.Dans un premier temps, le personnage principal est obsédé par le temps. En effet, dans le passage suivant, on peut voir qu’il compte les heures et le minutes qui le rapprochent petit à petit de son dernier souffle : « Encore deux heures et quarante-cinq minutes, et je serai guéri.» (p.146) Dès le premier jour d’emprisonnement il sait exactement le temps qui lui reste à vivre et malheureusement il ne peut rien faire pour modifier son triste destin. De plus, il attenu l’idée de la mort en la décrivant comme une guérison, c’est ce qu’on appelle un euphémisme. Il a eu tellement de temps pour réfléchir que la mort l’angoisse toujours, mais maintenant il l’accepte positivement. Il pense que tous ses problèmes physiques seront réglés et ne souffrira plus dans ce monde qui à décidé son misérable sort.Dans un premier temps, le personnage principal est obsédé par le temps. En effet, dans le passage suivant, on peut voir qu’il compte les heures et le minutes qui le rapprochent petit à petit de son dernier souffle : « Encore deux heures et quarante-cinq minutes, et je serai guéri.» (p.146) Dès le premier jour d’emprisonnement il sait exactement le temps qui lui reste à vivre et