Poème
Tout est rouge comme la passion de la vie ou tout est beau comme l’accomplissement d’un rêve inespéré, la vie éternelle.
Oh la vie !, terrible vie ! , et ses tonnes d’amour rouge qui l’on accompagné sont là, bien là, figées à jamais à travers ce temps…
Comme les coquelicots rencontrent le ciel à travers cette couleur vive, la vie rencontre la mort à travers cette sensation d’uniformité.
Comme le rouge des coquelicots envahit le ciel pour s’y fondre doucement, la vie, l’amour rejoignent le firmament pour te rencontrer dans l’au-delà.
Les dieux divins viennent à la rencontre de nos biens aimés.
Mais mon Dieu, nous tendras-tu la main pour venir à la rencontre de nos biens aimés !
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Je monte, je monte, le cœur percé d’où jailli mon amour indestructible, vers cette voute céleste pour satisfaire cette tristesse qui me quête, qui m’enveloppe, qui me sert, la perte d’un être cher (d’un peu de moi) qui je sais ne reviendra jamais, mais comme un musée, me sert à restaurer mes pensées. Ces pensées qui sont si belles, si inoubliables, si insensées et que, oh, mon Dieu, je n’oublierai, pas durant ma vie jamais durant ma vie !
Que vois-je là, un champ de bonheur ou un ciel de terreur ?
Tout est rouge comme la passion de la vie ou tout est beau comme l’accomplissement d’un rêve inespéré, la vie éternelle.
Oh la vie !, terrible vie ! , et ses tonnes d’amour rouge qui l’on accompagnée sont là, bien là, figées à jamais à travers ce temps…
Comme le rouge des coquelicots envahit le ciel pour s’y fondre doucement, la vie, l’amour rejoignent le firmament pour te rencontrer dans l’au-delà.
Mais mon Dieu, nous tendras-tu la main pour venir à la rencontre de nos biens aimés !
Je monte, je monte, le cœur percé d’où jaillit mon amour indestructible, vers cette voûte céleste pour satisfaire cette tristesse qui me quête, qui m’enveloppe, qui me sert, la