Problématique
L’être humain a été créé pour pouvoir s’améliorer et se développer tout au long de sa vie. Pour ce faire, celui-ci a besoin d’une motivation qui le fait avancer dans ses activités quotidiennes. Pour les penseurs grecs, soulever de telles interrogations revient à poser le problème de la finalité de la vie humaine, de la raison (ou des raisons) pourquoi nous existons. Le bonheur devient donc par excellence, la première motivation à toutes nos actions. On entend souvent dire, que le bonheur, nous amène à être heureux car il nous permet d’avoir des sentiments relié au plaisir. Toutefois puisque les plaisirs sont relatifs à tous, il serait comme dire que nous ne pouvons pas atteindre le bonheur d’une même manière car nous sommes tous différents les uns les autres. Pourtant, nous sommes tous des êtres humains qui mangeons, buvons et dormons. Toutefois, deux questions demeurent toujours : Quelle est la finalité de la vie humaine? Que doit-on faire pour être heureux, et atteindre ce stade de bonheur? Certains dirons qu’il est plus profitable de se contenter des plaisirs simples, quand d’autres affirmerons le contraire : on doit profiter de chaque instant au maximum avant notre mort.
Conceptualisation
Nous sommes d’accord avec la thèse d’Épicure qui se présente comme suit : pour être heureux il faut éviter les troubles de l’âme et les souffrances corporelles. Avant d’aller plus loin, comprenons davantage le thème principal du texte, le bonheur. Dans son premier sens le bonheur réfère à l’état de satisfaction des désirs individuels, caractérisé par sa durabilité. Ainsi, le bonheur permet notre bien-être car il est agréable et surtout équilibré pour l’esprit. On comprend, que le bonheur enlevé la possibilité de manque, car tous nos désirs sont comblés. Par, le fait même, le stress et la peur sont donc non présents au bonheur.
Premier argument
Ensuite, pour ce faire, on doit se contenter des plaisirs simples, dits nécessaires. Il faut donc,