Présentation des nuées, aristophane
Tourneboule athénien d’âge mur est bouleversé de soucis en effet sin fils Galopingre l’endette et le ruine pour satisfaire son goût pour les chevaux. Il regrette amèrement de s’être marié, une idée lui vient qu’il communique à son fils qu’il aille apprendre chez Socrate l’art de faire triompher par différents raisonnement les mauvaises causes. Ainsi il pense qu’il pourra gagner contre tous les droits, les procès que lui feront les créanciers. Son fils refuse alors le père décide de s’instruire lui-même. Il va frapper chez Socrate, un disciple lui ouvre et fait un discours élogieux de son maître et fait aussi l’éloge du discours Socratique. Socrate arrive sur scène et du haut d’un panier suspendu en l’air ou il médite ses pensées il accueil Tourneboule. Il invite ses protectrices les Nuées à venir inspirer le nouveau disciple Tourneboule (néophyte : néo= nouveau ; phyte= apprenti). Le chœur des Nuées s’approche alors en chantant au grand effroi de Tourneboule, Socrate le rassure puis lui fait la leçon : les Dieux n’existent pas, tout est gouverné au ciel par les forces purement physiques. Il lui promet de faire de lui un véritable disputeur (rhéteur) imbattable et le fait rentrer chez lui. Le coryphée proclame la finesse et la dignité du talent d’Aristophane et entre deux couplets lyrique du chœur il maque la bienveillance des Nuées pour les braves gens, leurs aversions pour les canailles et l’imitation que cause à la Lune la réforme qu’Athènes songe à faire du calendrier. Socrate furieux sort de chez lui, il chasse Tourneboule qui est un mauvais disciple, un cancre. Un sondage dans son savoir concernant la grammaire, la métrique a des résultats désastreux. D’autant que les idées de Socrate en ce domaine sont révolutionnaires. Socrate espère qu’une méditation solitaire va munir son disciple Tourneboule celui-ci propose successivement trois procédés saugrenus et absurdes pour se débarrasser de ses créanciers comme Socrate