Qu'est ce que l'homme ?
Pour répondre a ce sujet, nous nous demandons d‘abord quel est le sens de chaque termes du sujet . « Qu’est-ce que » est une question qui demande la nature de l’homme. « est » est l’auxiliaire être qui signifie exister, l’existence, il signifie aussi la nature de l’homme. Dans le sujet il y a plusieurs sortes de termes: les termes simples comme « qu’est-ce que » et les termes complexes comme « est » et « l’homme » . Nous appelons « homme » un être vivant qui respect les règles de l’Humanité . On se demande alors quel est le sens du sujet, que dit-il ? Que demande-t-il ? Et quelles sont ses présupposées .Il demande la nature de l’homme, son existence et sa valeur. Il y a des définitions de l’homme mais on ne sait pas laquelle choisir, il faut donc en trouver une et l’analyser, c’est-à-dire, observer repérer et comprendre les textes liés au sujet .
On se demande ensuite quel est alors le problème dans ce sujet ? C’est le problème de la nature de l’homme qui est posé, le problème de l’humanité de l’homme, l’homme est-il humain ? Ce problème est justifié par l’emploi de l’auxiliaire être.
La réponse à ce problème peut être trouvée à l’aide d’un plan dialectique , dont la thèse est la confirmation que l‘homme est bon, l’antithèse est l’affirmation que l’homme est mauvais de nature et la synthèse est que l’homme est bon et mauvais à la foi. D’une part, de par ses choix et ses actions, l’homme peut être défini comme un homme mauvais. Mais l’avis d’un philosophe tel que Rousseau nous démontre qu’il peut aussi naitre bon et le rester.
D’après Rousseau, il existe un « état de nature » avant l’instauration de l’état social. Il veut remonter à l’homme individuel hors de l’homme social. Pour Rousseau, deux passions animent l’homme naturel: l’amour de soi et la pitié. Nous pouvons constater que l’un est l’instinct de conservation de l’homme qui le pousse à se préserver, conserver son espèce. L’autre est la pitié qui elle, pousse l’homme