Question corpus mariages : madame bovary, bel ami , pierre et jean , au bonheur des dames.
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Question:Quelles images du mariage ce corpus propose-t-il?Le corpus proposé est constitué de quatre extraits de romans. Le premier est un extrait de Madame Bovary de Gustave Flaubert, paru en 1856.Le deuxième extrait est issu de Au Bonheur Des Dames d’Emile Zola, publié en 1883.Les deux derniers extraits appartiennent à des romans de Guy de Maupassant, l’un appartient à Bel Ami et l’autre à Pierre et Jean .Ces extraits traitant tous du marriage, nous pouvons nous demander quelles images du mariage donnent ces textes. Premièrement, nous montrerons en quoi ces textes donnent une image positive du mariage, puis en quoi ils en donnent une image négative.
Dans Pierre et Jean, une image positive du mariage est donnée. En effet, on observe que Jean répète à de nombreuses reprises « Je vous aime » ce qui montre que le mariage est un union désiré, et fondé sur l’amour. De plus, Mlle de Rosemailly ajoute qu’elle « veut bien » se marier avec Pierre, qu’elle accepterait donc sa demande en mariage, l’amour est donc réciproque dans cet union.
Une image positive du mariage est aussi donnée dans Au bonheur des Dames. En effet, l’amour des deux amants est si fort qu’il va outrepasser les « rumeurs » lancées par les employés. M. Mouret va faire sa déclaration d’amour à Denise, qui va tout d’abord refuser, mais comprenant que l’amour de ce dernier est vrai et profond, elle va se rendre compte qu’elle l’aime aussi, comme le montre « oh ! Monsieur Mouret, c’est vous que j’aime ».Ils vont alors décider de se marier. Cela montre que le mariage est la concrétisation d’un amour réciproque et profond, qu’il permet de lier deux personnes qui s’aiment réellement.
Dans Mme Bovary, une image négative du mariage est donnée. En effet, M. Rouault considère la demande en mariage de Charles comme un soulagement car sa fille ne lui était d’aucune utilité .De plus, M. Rouault considère ce mariage comme une opportunité de gagner de l’argent grâce à la dot. Dans aucun cas M.