Question De Corpus Meurtre I
I / Meurtres mis en scènes
Les textes 2 et 3 n'ont pas de mise en scène tandis ce que le texte 1 en a une.
Les textes 2 et 3 montrent en effet des crimes qui ne sont pas mis en scène : dans le texte 2 nous avons une simultanéité entre l'écriture, et les actions qui arrivent très vite en surprenant le lecteur qui n'a pas le temps de voir de mises en scène : « cette main se leva, et, avnt même que le directeur eût pu pousser un cri, trois coups de hache ». En effet juste après le débat du tueru et de sa future victime le crime se met en place. Le texte 3 n'est pas non plus mis en scène : « Thérèse ! Thérèse ! » on voit par cette répétition que le crime se commet directement.
En revanche le texte 1 nous montre bien une mise en scène. Celle-ci est est d'ailleurs théatrale.
On y remarque le champ lexical du théatre « trois coups », « rideaux »... La scène est très théatralisée, de plus comme dans le théatre, la mort n'est pas montrée au spectateur, la scène de crime se passe très vite sans détails de la victime : « elle tomba ».
II/ Les aspects symboliques
Dans le texte 1 :
La proposition subordonnée relative «qui l'accabla de compliments» (ligne 3) qui est un oxymore sert à montrer l’ambiguïté de la position de Julien à ce moment. En effet le héros ressent les compliments de l'armurier comme une torture dans la mesure où il sait que son destin est en train de basculer.
Les 2 phrases «En ce moment, le jeune clerc qui servait la