Question du temps

992 mots 4 pages
Peut-on perdre son temps ?
Etre privé d'une chose dont on était en possession, gaspiller, dissiper, gâcher, cesser d’avoir, être privé par la mort, se voir dépossédé d’un bien
Durée considérée comme une quantité mesurable, moment, notion fondamentale conçue comme un milieu infini dans lequel semblent se succéder les événements et se dérouler les existences, mouvement ininterrompu par lequel le présent devient passé, considéré souvent comme une force agissant sur le monde, sur les êtres

Chaque partie reponse question allant de la plus evidente a la plus juste
Pour pouvoir affirmer avoir « perdu son temps », il faudrait connaître le futur
Est-il possible de perdre littéralement son temps ?
En quoi le temps nous appartiendrait-il ?
Peut ne pas perdre ce qui disparaît ce dont l'essence est sans cesse de s'écouler?

expression idiomatique, qui signifie « Ne rien faire ou faire des choses inutiles »
« le temps perdu ne se ratrappe jamais »
CONTRAIRE de Gagner du temps, s'arranger de manière que le temps soit ménagé, que la chose soit différée, renvoyée à un meilleur moment. Faire quelque chose en moins de temps que par un autre moyen. Différer quelque chose le plus longtemps possible, parce qu'on y voit un avantage perdre son temps » est inévitable puisque le temps se perd en tant que présent devenant passé irréversible ; il est « perdu » du point de vue ontologique ; mais du point de vue psychologique, c'est à une qualité de mémoire que revient la perte ou non du temps : il peut être retrouvé et conservé (Proust). Enfin du point de vue éthique, le temps perdu est le temps vide stérile, et improductif quand aux valeurs existentielles directrices.
Perdre son temps, n'est-ce pas tomber dans une frivolité stérile, sans conséquences sur le futur ni sur l'enrichissement spirituel du moi ? N'est-il pas un présent fugitif et disparaissant sans effets sur l'avenir et sans créativité réelle ? La question ne renvoit-elle pas à une évaluation existentielle, au

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