G-citations
« La bonté sur la terre, jolie comme un cœur et, tenez vous bien : avec les mêmes yeux que lui. […] Et quand je dis la bonté sur la terre c’est qu’il n’y a pas d’autres mots. C’était inscrit sur son visage. Mais ce qui est écrit n’est pas toujours parole d’évangile, tandis que là, ça l’était. Vous savez qu’il y a un point où la bonté devient bête. Eh bien, cette femme allait jusque là, et ce n’était pas bête ! Elle allait bien plus loin que ce point-là et, ai lieu d’être bête on se disait : « Mon Dieu, qu’il y ait une femme comme ça sir la terre ! Mais ce n’est pas possible ! Ce que j’aimerai être cette femme-là, moi ! » (Thérèse)
« Elle avait des yeux de loup » (Le Contre)
« Le pauvre ! Il n’aurait pas fait de mal à une mouche et ce n’était pas lui qui m’avait cherchée. Je n’étais pas dévergondée, loin de là. Et chez les Charmasson, pour ça on vous serrait la vis ou alors on ne faisait pas long feu. Mas il avait de petites moustaches en soie marron et puis bel homme, robuste, et gentil comme une fille. » (Thérèse, description de Firmin)
« Des yeux de loup. Elle te dévisageait. […] elle dévisageait tout le monde comme si elle allait vous manger. Il y avait des fois, moi, où ses yeux me faisaient peur. » (Thérèse, description effrayante de Mme Numance)
p.218-220 Apogée de l’amour de Mme Numance et de Thérèse. Première fois que T. appelle Mme N. « maman » mais dans un univers glauque (poissonnerie) »L’étal aux poissons était effrayant dans le demi-jour. La