Réflechir peut il nous rendre heureux ?
I. Ne pas penser, pour être heureux.
- conception ordinaire du bonheur, comme prospérité matérielle liée a la chance
- critique de la réflexion comme 'prise de tête'
- pbm : ce bonheur est fragile, le bonheur suppose la prise de conscience
II. réflexion et contemplation
- Épicure, réfléchir pour maîtriser son bonheur
- réfléchir pr comprendre l'ordre du monde et l'accepter même dans l'adversité
- pbm : pouvons nous accepter le monde tel qu'il est ? faut il interpréter le monde et le contempler ou plutôt tenter de le transformer? Pour nous le monde n'est pas un tout rationnel, bien ordonné, dt nous faisons partie et ou nous devons trouver notre place.
III. valorisation de l'action créatrice : le bonheur comme conquête
- nous ne voyons pas le bonheur dans le repos d'un esprit satisfait. Nous préférons la joie inquiète liée a la poursuite des désirs. le bonheur stable des philosophes antiques est un bonheur de fond, insuffisant.
- la réflexion comme préparation a l'action. la sagesse est moins une attitude contemplative, qu'une attitude d'action prudente et éclairée
- il existe autant de formes de bonheurs et de redéfinition du bonheur, que de sorte d'activités. la reflexion et la poursuite de la vérité sont une forme de bonheur possible, assez éloignée cpdt de la sérénité contemplative par laquelle les sages antiques prétendaient vivre en accord ave cle