1. A votre avis, décrivez Lucie Aubrac ?
Lucie Aubrac, à l’époque de la Résistance, était assez jeune, elle avait environ vingt-neuf ans, mais elle était très courageuse et déterminée. Elle s’est mariée avec Raymond Aubrac, et ils ont eu un petit enfant, qui s’appelait Jean-Pierre. Pendant l’occupation Allemande, la famille Aubrac, ils habitaient à Lyon, dans la zone libre. Lucie et Raymond étaient dans le mouvement de la Résistance, donc Lucie, en tant que femme, était intrépide parce que les femmes étaient considérées faibles et timides, mais Lucie et d’autres résistantes ont prouvé que les femmes étaient vraiment les égales des hommes. Il me semble que Lucie n’avait pas peur des Allemands, même quand ils ont arrêté son mari, Raymond. Ensemble, les résistants à Lyon, y compris Lucie et Raymond, ont combattu contre le pouvoir des Allemands. 2. Ce qui poussait Lucie Aubrac à résister ?
Comme la majorité des résistants, Lucie Aubrac espérait libérer la France de l’oppression allemande. Ses valeurs individuelles comme celles qu’elle a exprimées dans son journal : la liberté, la fraternité, la résistance, la loyauté et le patriotisme, l’ont poussée à joindre le mouvement de la Résistance. En particulier, quand son mari Raymond, a été arrêté par les Allemands et condamné à la mort, Lucie n’a pas hésité à le sauver. 3. Si vous aviez été française pendant la deuxième guerre mondiale / l’occupation de la France, pensez-vous que vous aviez été résistante ou collaboratrice ?
Bien sûr, c’est trop difficile à dire ce qu’on aurait fait dans une situation affreuse comme celle-là. Je ne crois pas en la violence et je déteste ça, alors je pense que je n’aurais pas aimé être résistante. De plus, je ne suis pas très courageuse donc je n’aurais pas été une bonne résistante. Je n’ai pas de la force d’âme dont ils parlent dans la chanson ‘S’il était à refaire’. Par ailleurs, si j’avais une famille, je ne serais pas enclin à résister, parce que ma famille