Rapport de Musée: Pensionnats autochtones
Comme demandé pour écrire ce rapport, j'ai visité l'exposition sur les Pensionnats autochtones. Cette exposition a été fait par le Musé McCord en association avec la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Cette exposition a été réalisée pour démontrer l'injustice qu'a vécu les autochtones à la fin du 19eime siècle et au début du 20eime siècle dans les pensionnats. Durant plus de 150 ans, des milliers d’enfants autochtones et métis à travers tout le pays ont été placés dans des pensionnats financés par le gouvernement et administrés par les églises. Dès l’âge de 4 ans, ils étaient séparés de leurs parents et de leur communauté, et dépouillés de leur langue, de leur identité culturelle et de leurs traditions. L'exposition est surtout basé sur des photographies qui ont été prise par plusieurs photographes dont Alice Constance Dunn, une enseignante qui a appuyer les enfants autochtones à conserver leur langue et leur culture lors de cette période.
Cette exposition hors murs se veut être une réflexion sur un aspect sombre de l'histoire collective du Canada. Elle a plus précisément pour but de faire connaître ou rappeler le sort de milliers d’enfants autochtones et métis ayant grandi dans des pensionnats dont la mission était d’éradiquer toute trace de leur culture. Les photographies et les textes de l'exposition portent soit sur la vie quotidienne dans le pensionnat, soit par les tentatives extrême d’assimilation. L’une des photographies porte sur une école qui n'offrait que des sports de ''blancs'' aux étudiants autochtones tandis qu'une autre démontre le fait que les élèves étaient forcer d'apprendre à jouer des instruments de ''blancs''. Alors que les écoles enseignaient aux élèves à jouer des instruments européens, ils leur étaient interdit, ainsi qu’à leurs parents, de pratiquer leurs propres rituels. J'ai personnellement apprécié le fait que