Introduction

Je pense que le métier de chercheur en physique optique est ce qui va le plus à la rencontre de ma profession de « rêve » et cela depuis le début du lycée. A cet âge, je regardais beaucoup de chaines scientifiques car je m’intéressais beaucoup au médical et aux expériences. Au fur et à mesure que les mois ont passé, je me suis aperçu que la vision n’était jamais, ou presque jamais, mise en question dans les programmes scientifiques. Des avancées significatives étaient faites pour de nombreux organes mais jamais pour les yeux. C’est alors que mon intrigue sur les yeux a surgi.

En faisant une année d’université en médecine à la Timone, j’ai appris encore plus sur les yeux et le cerveau, ça m’a permis de voir plus clair le métier que je ferai plus tard.
En 2011, je continue de vouloir en savoir plus sur les yeux et le cerveau, et j’ai décidé que mon sujet pour le RAPP allait être sur la recherche en physique optique.
En ayant une conversation au TD1 à propos de mon thème, j’ai eu quelques doutes concernant la physique optique : « Est-ce vraiment la profession que j’envisage de faire où il y a-t-il encore un autre métier plus spécifique que d’être chercheur en physique optique ? Y a-t-il une ramification ? ». Autre question que je me posais : « Quel était le quotidien d’un chercheur ? », car j’avais une idée mais encore imprécise.

Un des buts d’un chercheur en physique optique, parmi d’autres, est de trouver des solutions au travers d’expériences aux problèmes actuels dans le domaine de l’optique.
Je considère pour faire ce métier qu’il avoir les qualités suivantes : au niveau personnel, il faut être patient, persévérant et curieux. Au niveau professionnel, il faut être apte à écouter/débattre, apte au travail en solitaire comme au travail d’équipe et être organisé.
Un doctorat est nécessaire et une maîtrise des compétences en physique, mathématique et biologie ainsi que d’anglais.
Cette profession s’exerce aussi bien dans secteur