Regret sur ma vieille robe de chambre
Sa nouvelle robe de chambre lui renvoie une image qui n’est pas lui alors que l’ancienne était faite pour lui : « Elle était faite à moi, j’étais faite à elle ». L’ancienne ne modifiait pas son image maintenant il à l’air d’un « riche fainéant » ; « On ne sait qui je suis ».
Avec l’ancienne robe de chambre il faisait plein de choses. Ce qui arrivait à l’ancienne lui « tait égal, il pouvait la salir, essuyer sa plume pleine d’encre dessus (annonçait le littérateur, l’écrivain, l’homme qui travaille).Il était le maître. Alors qu’avec la nouvelle, il doit y faire attention. Du rôle de maître, il passe à celui d’esclave. « J’étais le maître absolu de ma vieille robe de chambre ; je suis devenu l’esclave de la nouvelle. » Avant il ne redoutait ni sa maladresse ni celle des autres, ni les éclats de feu, ni la chute de l’eau… Alors que maintenant bien.
Parfois il fait part d’un regret de s’en être débarrassée. « Quel démon m’obsédais le jour ou je la chassais pour celle-ci ».
« Mes amis, garder vos vieux amis. Mes amis, craignez l’atteinte de la richesse. Que mon exemple vous instruise. La pauvreté à ses franchises ; l’opulence à sa gêne ».
Derrière le matériel // avec les liens d’amitiés, les vieux amis : avec eux on peut être soi-même (comme avec la vieille robe de chambre) ; la richesse amène la gêne.
Beaux vêtements : payés par des entourloupes
Vieux vêtements : vie libre, on ne doit rien à personne
« J’ai quitté le tonneau où je régnais pour servir sous un tyran ». Avant, il était le roi, maintenant, il doit obéir.
Il décrit ensuite la pauvreté de son chez lui. Ce chez lui qui avec la vieille robe de chambre « l’indigence la plus harmonieuse ». Depuis l’arrivée de la vieille robe de chambre, « tout est désaccordé. Plus d’ensemble, plus d’unité, plus de beauté. »
Le nouvel objet, empreint de richesse vient