Resum

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Cette politique est considérée comme la contrepartie de la libre circulation des marchandises découlant de la réalisation du marché commun. Quelles sont les structures de cette politique de la concurrence, les comportements adoptés et enfin les performances de celle-ci ? Nous allons voir ce que permet la concurrence, les diverses règles vis-à-vis des entreprises puis analyser le degré d’intervention des autorités dans cette politique.

La concurrence pure et parfaite est le modèle générale et bien évidemment plus favorables à « l’intérêt des consommateurs ». Elle permet d’encourager les performances économiques et par conséquent d’accroître le capital de la société économiquement parlant.
L’efficience allocative correspond à la diffusion du pouvoir de marché ; la performance innovatrice des entreprises qui est établit sur le long terme comme l’efficience productive qui correspond à la combinaison maximisée des facteurs de production (travail, capital, consommations intermédiaires). Toutes trois sont importantes pour l’accroissement économique.
L’efficience dynamique joue un rôle important dans l’accroissement de la richesse mais est la plus compliquée à mettre en place puis vient l’efficience productive qui augmente la richesse sociale sur tout le volume de production puis pour finir, la performance allocative qui ne touche qu’à la marge. Les différentes politiques de la concurrence dépendent finalement de la stratégie adoptés par l’entreprise qu’elle soit sur le court ou long terme et de la croyance en cette « robustesse » de la concurrence.

Les économistes de Chicago évoquent le bien fait du taux de concentration sur le taux de profit en raison de leur foi concernant les bases « fortifiés » de la concurrence. Il s’agit d’une loi qui permet de privilégier aussi bien les entreprises que « les portefeuilles » des consommateurs. La supériorité des grandes entreprises n’est pas alarmante s’il n’y aurait pas de problèmes de barrières à l’entrée d’un marché.
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