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Notre éducation, dans les pays européens et anglo-saxons en tous cas, Descartes et Pascal y sont pour quelque chose, a rejeté le « ressentir » de la sphère noble des activités de l’esprit humain.
« Je pense, donc je suis. » a bien dit l’un des deux.
Le siècle des Lumières a suivi, donnant le primat à la tête, symbolisée par l’Aigle au regard perçant, occupant l’espace en altitude, et par la tête du Sphynx, siège de la pensée, prolongée dans l’action par les bras et les jambes, organes subordonnés du faire. Dans la monumentale statue égyptienne du Sphynx, minéral immobile et sans vie, bras et jambes sont plaqués au sol, faisant corps avec lui plus qu’avec le Sphinx auquel ils appartiennent. Seule la tête est fièrement dressée et l’œil perçant.
Et ceci au détriment du cœur, le Lion, et du ventre, attribut du Taureau.
Le cœur, symbole du courage, le Lion, est aussi habité par les sentiments que l’on réserve souvent au genre faible, la femme. Le second, le Taureau, est investi par les sensations et les pulsions, domaines tabous du Faune autant que du Taureau.
Le roi Richard avait, lui, un courage et un cœur de Lion.
On dit d’autres qu’ils ne s’expriment qu’avec la force aveugle et la brutalité du Taureau ou à l’inverse avec la séduction perverse du Faune. Tous les deux tournent leurs yeux vers le bas, excluant la pensée dans l’action. Le Taureau ne voit que le sol quand il fonce, tête baissée. Le Faune jette un regard oblique, que sa proie ne voit pas, et dans lequel, seul le spectateur de la scène représentée sur la gravure ou la peinture qui