Rire facteur de cohésion social ?
Le rire est le propre de l’homme. De nous jour, l’humour est présent partout. Il peut être un facteur d’intégration sociale, car le petit comique toujours souriant à essayer de faire rire les autres est plus ou moins apprécier des autres, donc ce fera plus facile de se faire des amies ou un facteur de relations humaines comme dit le proverbe comique « femme qui rit, femme à moitié dans son lit. », ou par exemple une personne aura moins de complexe et sera plus aisé de venir vers une personne qui a l’air heureuse qu’une personne déprimée. C’est l’être humain qui est comme ca nous ne pouvons pas le changer.
On tente de faire rire pour plaire à ses amis ou à ses conquêtes. Le rire est donc un moyen de se valoriser auprès des autres. D’ailleurs, comme l’a écrit Henry Bergson dans son essai sur le rire, «en participant à une identité collective, le rire façonne la vie sociale, il est donc inhérent à toute relation sociale.»
On peut ajouter que le rire exerce une fonction de critique du pouvoir. Il est aisé de tisser des liens grâce à l’humour. La thèse de Bergson selon laquelle le rire est collectif illustre bien cette idée. L’expression « plus on est de fous plus on rit » la confirme : plus le nombre de personnes joyeuses augmente, plus la joie de chacun devient intense ; or plus les individus d’un groupe rient ensemble, plus les liens se créent et se resserrent. Le rire communicatif tel qu’on le trouve dans Le Corniaud de Gérard Oury en 1965 invite également à la complicité, en effet nous pouvons voir que De funès alias Saroyan utilise Bourvil alias le Maréchal pour exporter sa drogue et son diamant (Le yukunkun) alors qu’il ne se doute pas qu’il va lui arrivé une tonnes de péripéties