robinson
La théorie moderne de la discrimination des prix a largement hérité des travaux de Joan robinson (1933).
En consacrant deux chapitres de son livre appelé (the économics of imperfect competion) au problème de la discrimination du troisième degré, Joan robinson a examiné toutes la condition nécessaire à la discrimination (pouvoir de marche, élasticités différentes de la demande des consommateurs aux prix.
Pour être plus précis la discrimination par les prix est souvent définie comme l’acte de vendre le même article, produit sous un même contrôle, a différents prix et aussi a différents consommateurs mais également a fixer des faibles pour d’autres.
Joan robinson est l’une des rares femmes économistes et aussi une des plus importantes dès ce siècle.
Elle a contribué, explique, critique et rénove les idées centrales de la fameuse révolution keynésienne, dont le but principale de la théorie générale de l’intérêt de la monnaie, publie par John Maynard Keynes.
Joan robinson a traite beaucoup d’aspects varies sur la théorie de l’économie qu’il est aisé de comprendre pourquoi ses rares écrits sur les progrès techniques n’ont pratiquement pas été pris en compte.
Cet échec est due à sa tentative de traiter un sujet aussi complexe dans le cadre de la théorie keynésienne à long terme en d’autre thème elle a rarement traite ce thème de façon formaliser.
La théorie de Joan robinson montre aussi certaines difficultés auxquelles elle a pu se heurtée, sans d’ ailleurs pouvoir toujours les résoudre.
La première tentative de formalisation
Le premier ouvrage dans la quelle Joan robinson a évoqué certains progrès technique s’intitule (the long périod théorie of employment (1936).
Il consistait en quelle que sort a appliqué certains principes,
De la théorie générale de Keynes a certains problèmes spécifiques et avait pour but de développer une théorie de l’emploi a long terme et d’aborder aussi le double caractère de