Rugby
Le bonheur s’est ainsi partagé en famille, jusque sur le cliché officiel avec le trophée où les minots de plusieurs joueurs s’étaient joints à la photo.
Pour fêter la conquête de cette deuxième Coupe de la Ligue de rang, les Phocéens n’ont pas ensuite joué les bambochards, ni épuisé les boites de nuit de Paris. Ils ont savouré à l’hôtel, toujours avec leurs proches. « On n’a pas pu faire de grosse fête car on joue mercredi. On a dû tempérer », raconte Fanni. On a dansé, on a ri et souri, et puis il a fallu aller rejoindre Morphée.A la table de la direction et du coach une partie de la soirée, la coupe a ensuite vite retrouvé Guy Cazadamont. Retrouvé, car le directeur de la sécurité et de l’organisation de l’OM l’avait déjà couvée l’an passé. Elle passera la nuit à ses côtés.
Celle-ci ne sera pas bien longue. Mais la présence de supporters olympiens à l’aéroport de Roissy, tout heureux d’être là au bon moment pour recueillir autographes et photos, aura été une agréable reprise de contact avec l’extérieur. Tout comme les chants entonnés sur le passage de leurs bus, par quelques dizaines de fans, à l’atterrissage à Marignane.
C’était dit, cette année il n’y aura pas de défilé sur le Vieux-Port. Si tout Marseille devait se presser de nouveau dans les rues ce ne serait qu’à la fin mai pour y célébrer un nouveau titre. Ce serait d’ailleurs une