Les Confessions, de Jean Jacques Rousseau publiées en 1780, le siècle des lumières, est une autobiographie de celui-ci. En effet J.J Rousseau y raconte les mémoires de ses cinquante premières années. Cette oeuvre contient 12 livres, divisés en deux parties distinctes qui sont Le Préambule du livre I au livre VI et la seconde partie du livre VII au livre XII. Il emprunte le titre de son oeuvre à Saint Augustin qui écrit ses confessions vers 400. Dans cet extrait, il s'agit d'un des faits marquants de sa jeunesse lorsqu'il fut terrifié par un homme alors qu'il observait de jeuqui par la fin le laissa s'en allé.
Nous étudierons l'innovation de l'autobiographie au XVIIIème siècle et l'importance de l'expression des sentiments de J.J Rousseau dans cet extrait.

Tout d'abord, Rousseau s'engage dans ces confessions, à l'encontre de ses semblables philosophes. C'est-à-dire qu'il va les surprendre en écrivant son autobiographie car n'oublions pas que c'est le siècles des lumières où l'esprit et la raison triomphent et où les sentiment et contages de vies ne sont guère les mieux vues. Il va donc innover l'autobiographie et par cela s'exclure peu à peu de la société. Il assume entièrement de parler de tout ses souvenirs, des plus valorisants aux plus dévalorisants comme ce passage : "Ce qu'elles voyaient [...]c'était l'objet ridicule", ici il s'ouvre à tout ces lecteurs afin qu'ils sentent sa sincérité: " Mon agitation crût [...] je les attisais par les plus extravagantes manoeuvres", il s'avoue extravagant. Il est possible que certains de ses souvenirs auraient pu être modifiés quel que peu, mais l'authenticité de ses paroles et de la façon dont il en fait part nous amène, nous lecteur, à sincèrement y croire et à lui faire sans aucun doute entièrement confiance. Il se dit que plus il sera sincère plus ca lui sera bénéfique: il sent, il pense donc il est. Le lecteur a beaucoup d'importance.

Ensuite, dans cet extrait, J.J Rousseau