Récit policier
Il gagna la cuisine, but un cappuccino bien chaud, et prit une douche en souriant: il avait été admis à la nouvelle cellule d' Interpol: The International Unit of Investigation. Alors qu'il sortait de la douche, son nouveau téléphone professionnel mis à disposition sonna, l'alertant d'une nouvelle enquête.
«Un professeur de la faculté de Nantes vient de mourir. Selon les premiers éléments, la chute d'un objet lourd sur sa tête causa sa mort à onze heures et trente-quatre minutes car sa montre Géonaute se brisa à onze heures et trente-quatre minutes , lui expliqua Wolfgang, un de ses coéquipiers.
-Des indices?
-Aucun, hormis une empreinte digitale partielle sur les feuilles que portaient le professeur mais cette empreinte pourrait être la sienne.
-L'as-tu transmis à Albert?
-Oui, mais il lui faut l'empreinte des suspects.
-Venons-y, quels sont les suspects?
-Toutes les personnes qui n'avaient pas cours à onze heures et trente-quatre minutes , soit150 élèves.
-Demande au procureur un mandat pour prélever les empreintes de chaque suspect et boucle la scène de crime.»
Pendant que Wolfgang s'occupait des demandes de Trev, Hector Trev prit congé, s'en allant chez le médecin légiste. Le chemin était très court, en effet, il lui suffisait de tourner à gauche, avançait tout droit prendre l'ascenseur, descendre de trois étages pour arriver au second, avancer tout droit pendant une dizaine de mètres et ouvrir la troisième porte métallique à droite.
Arrivé, le médecin légiste ne tarda pas à lui faire part de ses découvertes: L'arme du crime serait un livre de 723 grammes qui possède une gravure en quatrième de couverture, le livre est tombé sur la tête de la victime depuis le haut de l'escalier du bâtiment A où la victime a été trouvée: ce qui limite nos suspects aux 12 élèves de