Récit d'invention louis aragon
Aragon ayant écrit ses poèmes durant la guerre, on ne peut douter sur l'exactitude des détails. Malgré que celui-ci utilise une manière peu directe pour nous montrer sa vision du monde.
Tout d’abord, ses titres de poèmes sont assez poignant, tels que « Enfer-Les-Mines » et « Tapisserie de la grande peur », ces titres se rapportent beaucoup à la guerre.
Ensuite, il utilise un champ lexical très porté sur la guerre, sans vouloir transmettre toutes les horreurs qu’il a pu voir. En voici quelques exemples : * massacre ; combattu ; blessé ; chars ; querelle ; sang ; tourelles ; général ; soldats ; armure…
Il essaye aussi de décrire le sentiment général après cette attaque. * terreur ; effroi ; fureur ; désemparé ; sans force …
Aragon utilise des métaphores pour faire ressentir l’horreur de la guerre telles que : « ‘‘L’air qui tremble et la route a ce bourdon d’abeilles’’, on peut voir a travers cette phrase que des bombes sont au cœur des inquiétudes des soldats, que des chars traversent cette rue tout en rompant le silence, imitant le bruit des abeilles.
Son texte est aussi enrichi par l’ajout de quelques personnifications : « vélos délirants ; canons ironiques ».
Devant toutes les méthodes utilisées par Aragon pour transmettre ses pensées, on peut supposer que cette période ne fut pas la plus simple de sa vie.
De plus tous ses poèmes furent écrit sur le moment des faits donc on peut penser qu’il était encore sous le choc de la vision de toutes ces atrocités.
Invention
Cher Lecteur, Suite a votre demande d’explications sur ma pensée écrite faite lors de la guerre qui était si je me souviens bien : « Jamais faire chanter les choses n’a été plus urgente et noble mission à l’homme », Je vous retourne ce courrier tout en vous expliquant du mieux que je le pourrai la signification de cette phrase.
Lorsque j’ai écrit cette phrase j’étais, hélas engagé et donc j’étais au courant de la transmission des ordres de batailles, et je me rendis