Résumé de lecture :
«Auschwitz : les mécanismes de l'extermination»

Vers la fin des années 60, la seule prononciation du nom « Auschwitz » glaçait l’âme des gens, car les souvenirs des camps de travails, des vagues de déportation, de la quête de survie et de l’extermination revenait à leur mémoire. En 1941, Auschwitz comporte trois camps concentrationnaires: le camp principal d’Auschwitz I, le « Stammlager », le camp d’extermination « Birkenau » et le camp de travail « Auschwitz III ». Autour de 1942, les Polonais et les Juifs furent les premiers à êtres déportés dans les compartiments dégradants des camps de concentrations. Obéissant aux ordres de Heinrich Himmler, les officiers SS, ayant comme auxiliaire des Kommandos, veillent à ce que les prisonniers respectent les règles du complexe concentrationnaire. Au printemps 1943, les détenus d’Auschwitz tentent à chaque jour de survivre. Entassés des milliers dans de pénibles conditions, les épidémies qui se propagent les condamne à mourir de maladie, ou affaiblis par celle-ci, ils sont conduits à la « rampe de Birkenau » jugé comme inapte au travail. Dans cette même période, des prisonniers ont tentés de fuires, mais les résultats ont été minimes. Enfin, l’on trouve la « solution finale », c’est le rasage complet de tous les Juifs de l’Europe de l’Ouest et Tsiganes détenus dans les camps d’Auschwitz, par les chambres à gazages, détruite en 1945. C’est sur les Juifs qu’ils expériment ent les premières expériences médicales in vivo, où l’on tente de stériliser les hommes et les femmes afin qu’ils cessent de reproduire leurs mauvais gènes. Le nombre de mort dû à aux camps d’Auschwitz est inconnu. Par contre, plusieurs hypothèses, dont celle de Franciszek Piper, démontrent qu’il y aurait près de 960 000 morts sur 1,1 million de déportés. Plusieurs grandes batailles se fondent sur des faits historiques qui s’appuient sur l’exemple d’Auschwitz. D’abord le négationnisme, qui consiste à banaliser et à ne pas avouer ce