Résumé du chevalier de maison-rouge
Chapitre 1 : Les enrôlés volontaires
10 mars 1793
Pendant cette soirée Paris était triste, elle avait rien de sa gloire d’une fois. On était dans la France en pleine révolution dans la période montagnarde. Après la politique de guerre et les Massacres de Septembre dans la période girondine la France était moins estimée comme puissance physique et morale par tout l’Europe.
9 mars 1793 (retour en arrière)
On avait rassemblé les enrôlés volontaires : « une armée » de 35000 volontaires pour soutenir le combat de Dumouriez aux bords du Biesboos, où il préparait le débarquement en Hollande. Ces volontaires se sont inscrits en ayant une condition : les traîtres, les girondins, devaient être punis, de façon que un tribunal serait installé.
La femme de Louvet a entendu que les montagnards avaient déjà commencé à assassiner des Jacobins et des Cordeliers hors de la loi. Elle avertissait son mari, et Louvet prévenait ses amis, qui étaient en réunion chez Pétion parce que ils craignaient qu’il se tramait quelque chose d’inconnu et de terrible.
À ce moment-là, une femme inconnue, qui rôdait dans les rues parce qu’elle aussi craignait sa mort après celle de Louis XVI. Elle savait bien que si on l’apercevait, elle serait emprisonné. Elle a de la malchance et elle croisait une troupe des enrôlés volontaires. Celle-ci voulait l’emporter vers leur poste, parce qu’elle traînait dans les rues après 22h, ce qui est interdit. Soudain, un inconnu intervient en défendant la femme (sans savoir sa identité réelle) et il la accompagnait vers la poste parce qu’elle lui avait dit qu’elle avait peur de ses ‘brutes’. Puis, elle lui chuchotait que cet arrêt signifierait sa mort.
Chapitre 2 : l’inconnue
L’homme qui intervenait paraît d’être un certain Maurice. La troupe des enrôlés volontaires rencontrait une patrouille de la garde nationale, sous le commandement de Lorin qui est un ami de Maurice. Ces deux républicains essayaient de sauver la jeune femme, de