The call

C’est l’histoire d’une femme qui s’appelle Jordanne, qui travaille sur une plateforme téléphonique d’urgence aux états unis. Les gens appellent ce numéro, le 911 en cas d’urgence. Un jour, une adolescente nommée Alice appela et c’est Jordan qui prit l’appel. Mary était retenue prisonnière dans le coffre d’un homme qui l’a kidnappée. Jordanne demanda à la fille, qui avait réussi à se détacher, de casser les phares de la voiture et de passer sa main pour que des gens sur la route l’aperçoivent. Mary casse un phare et tente de prévenir les autres automobilistes de la route, sans succès. Puis mary remarque des pots de peinture dans le coffre. Elle décide de répandre de la peinture par le trou qu’elle avait fait pour que l’on puisse suivre sa trace. Un automobiliste arrête la voiture du tueur, et le prévient que de la peinture s’écoule par ses phares arrière. Le tueur sait que mary est responsable. Il remercie l’automobiliste de l’avoir prévenu et s’écarte sur un chemin plus éloigné de la grande route. Il frappe violemment Mary, et retourne au volant de sa Lincoln noire. Mary à eu de la chance qu’il ne découvre pas qu’elle était en train de téléphoner. Puis l’automobiliste qui avait prévenu le tueur aperçu mary à l’arrière de la voiture. Il arrête à nouveau l’homme, et le menace d’appeler la police car il a tout vu. Le tueur le frappe, et le met dans le coffre avec l’adolescente. L’automobiliste se mit à crier, crier, et le tueur finit par s’arrêter et le tuer. Il remit le cadavre dans le coffre, avec mary. Jordanne avait entendu toute la scène. Mais lors d’un arrêt pour vérifier que Mary ne s’est pas échappée, il l’a surprend au téléphone avec Jordanne. Celui-ci prend le téléphone, frappe une énième fois la pauvre fille, et demande qui est à l’appareil... Jordanne le prévient qu’il à été identifié, que sa femme et ses enfants sont au courant de toute l’histoire, et qu’il n’est pas encore trop tard pour se rendre. Le tueur, en guise de réponse, affirme