Réécritue ulysse et les sirènes (sujet d'invention)
Au coucher de la brise, quand vient le calme plat, les autres vont vagir, affolés et sans égard ; mais Ulysse attaché à son mât, calme les criards : « Nous arrivons au repère des Sirènes, prenez garde à vos oreilles ; qu'elles soient grandes ou petites, bouchaient les de cire pétrie. » Équipage du croiseur, les ordres respectèrent ; et doucement ils avancèrent, causé par le manque de vent. La brume légère fût au rendez-vous ; de loin, à la perfection, Sirènes ressemblaient. Chant d'amour attisant folie, prenait place dans le navire. Ulysse lié tel un rôti, sentait la douceur pénétrer son âme ; et il se mit à crier tout comme l'animal qu'est l'âne : « Que Zeus m'envoie sa foudre, je ne peux résister plus longtemps ; mon seul désir maintenant, est de plonger dans cet océan. » Constatez qu'Ulysse devient fou à lié, qu'il en perd sa raison, confondant mer et océan. Ulysse dit, d'un air assommé : « Ne voyez-vous pas la souffrance que j'éprouve, par ce chant des plus satisfaisants ; me rendant serviteur des Sirènes enchanteresses ? ». Le reste de l'équipage, endormi ou aux cartes jouant, laissait délaissé Ulysse, dans une bien triste phase. Ulysse constata sans stupeur, la présence des ossements dont Circé lui avait parlé ; qui par milliers se présentaient, accompagnés de cadavres de voiliers, qui ont du s'échouer, il pensait. Cependant, la surprise fût grande, lorsque le corps des Sirènes se révéla ; qui jusque là camouflé par le brouillard, était invisible aux regards. La laideur était d'une si grande horreur, qu’abasourdit, Ulysse les yeux crevaient, voulait-il : « Offense à la nature humaine ! Je ne peux qualifier ce spectacle, qui n'est plus des plus revigorant, mais d'une honte sans précédent ! ». Grasses et difformes les Sirènes étaient. Leurs rondeurs rebondissantes nous laissaient croire, à la vue de femmes demis mollusques ; plutôt que femmes demis poissons. Une chose était néanmoins sur, des profondeurs du monde de