Sciences politique corrigé 1ere es
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La notion de pouvoir
MANUEL : pp. 20-29
Document d’ouverture, p. 20
1 Il s’agit du personnage qui se présente comme un « juge ».
C’est lui qui donne les ordres et organise le « procès ».
3 Il se dirige gravement vers sa place et emploie des formules supposées confirmer son statut de « juge » (« l’audience est ouverte », usage de mots latins…). 4 Ce comique vient du contraste entre la prétention du « juge » de mener un véritable procès et le lieu (un débit de boisson) et ses véritables compétences (ses formules latines n’ont aucun sens).
2 Ce pouvoir repose sur la force (fusil) et sur la coopération d’autres participants (jury, public).
DOCUMENTS
1. Le rapport de pouvoir
Doc. 1, p. 21
11 Le pouvoir des parents sur les enfants, nécessaire à l’éducation, le pouvoir du chef d’équipe sur les autres salariés, nécessaire pour organiser le travail…
Doc. 5, p. 23
1 Organisation des migrations de la tribu, répartition des tâches, répondre aux besoins particuliers des membres de la tribu, distraire la tribu et, enfin, se trouver un successeur. 2 Il ne dispose d’aucun moyen de coercition et doit donc convaincre ou obtenir par des cadeaux le consentement des membres.
12 La « dissuasion » : pouvoir de l’agent de police… ; la « rétribution » : paiement au commerçant, décoration au soldat… ; la « persuasion » : candidat cherchant à se faire élire à un poste de responsabilité…
3 Il n’obtient que peu d’avantages, sauf le droit d’être polygame (ce qui est aussi un moyen pour remplir ses tâches). 4 Absence de moyens de coercition, valeur dominante de générosité au principe du choix d’un chef, faiblesse des avantages matériels, prestige limité (il est difficile de trouver un chef…).
Doc. 2, p. 22
2. L’exercice du pouvoir
Doc. 6, p. 23
5 Les parents sont aussi « dépendants » de leur enfant dans la mesure où ils ont de l’affection pour lui. L’enfant peut donc influencer le comportement de ses parents à son égard, en modulant ses