1) Le maire déconseille provisoirement aux habitants la consommation d’eau du robinet. Effectivement, les résultats d’une étude d’analyse de l’eau du village montre que toutes les valeurs des paramètres sont dans les normes de qualité, sauf les nitrates résiduels qui s’élève à 65 mg/l alors que la limite de qualité doit être inférieure ou égale à 50 mg/l. Donc l’eau n’est plus potable, puisque le nitrate est en excédant de 15mg/l. Il est donc normal que le maire déconseille de consommer l’eau du robinet tant que le taux de nitrate ne sera pas égal à 50 mg/l.

2) Tout d’abord, dans le document 2 qui nous monte les devenir des engrais dans l’environnement dans une exploitation maraîchère on voit que lors d’une pulvérisation d’engrais, très peu d’engrais se disperse dans l’air, et dans un autre temps une autre partie d’engrais est déposé en surface et rejoindront les rivières ; enfin la plus grande partie s’infiltre dans le sol. Les ions contenus dans les engrais, plus particulièrement les ions nitrates se fixeront sur le complexe argilo-humique du sol et constitueront par la suite une réserve qui pourra être prélevé par les plantes. Néanmoins, si les pulvérisations d’engrais est trop important, les ions en excès nous pourront être retenu par le sol, ils finiront alors dans les nappes phréatiques, pouvant donc pollué certains réservoirs aquifères s’il les ions atteignent les rivières. Ensuite, on observe dans le document 3, la quantité de nitrates résiduels dans une ferme produisant des pommes de terre en fonction de l’apport d’azote. Les nitrates résiduels sont aux environ de 48mg/kg de sol, en tenant compte de l’absence d’apport d’azote. Ces nitrates ne sont pas fixés par le complexe argilo-humique du sol, puisqu’ils sont très solubles donc très lessivés. Un apport jusqu’à 110kg/ha provoque une faible augmentation des nitrates