slt c une photo
L'allèle HbS se matient dans certaines populations africaines et asiatiques à une fréquence élevée(alors qu'elle devrai être faible).
La comparaison des cartes fournies met en relation le matien de cet allèle à une fréquence assez élevée (10 à 15%) avec le fait que ces populations vivent dans des régions ou le paludisme sévit de façon importante à l'état endémique.
On se retrouve donc devant le problème suivant : la fréquence dans une population humaine d'un allèle (hbs), apparu par mutation au hasard, est en corrélée avec un facteur de l'environnement, la présence à l'état endémique du paludisme:
.dans un environnement sans paludisme fréquence faible.
.dans un environnement paludisme, cette fréquence est plus élevée
On peut donc supposer que ce facteur de l'environnement a une influence sur le matien et la transmission de l'allèle HbS:on parle alors de sélection naturelle.
On constate que la mortalité réelle des individus hétérozygotes dans un environnement impaludé est nettement inférieur à celle attendue. On parle de sélection positive. Les individus hétérozygotes se trouvent donc favorisés par rapport aux individus homozygotes A/A ( les individus S/S ayant une trés forte mortalité.) et ont donc une probabilté plus grande de transmettre leurs allèles de génération en génération, ce qui explique la fréquence plus élevée de l'allèle S dans les populations vivant dans un environnement impaludé, que dans celles vivant dans un environnement non impaludé.