LE SOLEILINTRODUCTION : Les Fleurs du Mal est un recueil de poème écrit par Baudelaire et publié par Poulet Malassis en 1857. Lorsque ce recueil paraît, il fit de suite scandale dans une société aux meurs strict. Baudelaire sera condamné en 1857 et 6 des 13 poèmes accusés seront supprimés puis réhabilités 100 ans plus tard. Lorsqu'on observe le titre on décèle l'oxymore entre « Fleurs » le bien et « Mal » qu'il l’oppose. Ce recueil montre donc des sujets très osés tel que la drogue …afficher plus de contenu…

Avec CCL au vers 1 « Le long d’un vieux faubourg où pendent aux masures », « faubourg » et « masures » sont péjoratif=> ville décrépie. « pendent » v1 et « persiennes » vers 2 pas valorisant=> impression que les persiennes, en mauvais états, vont se détacher. Au vers1 et 2, rime « masures/luxure » les habitants s’adonnent à la luxure/ plaisir coupable et profitent des persiennes pour dissimuler leurs méfaits CCT au vers 3 « Quand le soleil cruel frappe à trait redoublés » => cadre temporel, le soleil est qualifié de « cruel », il peut brûler +métaphore « trait redoublés ». Vers 4, nous sommes en « ville » plus précisément à la lisière, « faubourg » v1 mais aussi rural, « champs » et « blé » v4 au moment où le soleil est au plus haut (v3) =>La ville est décrite de façon négative. Vers5 : Apparition du poète « Je ». « Escrime »=> Le poète exerce une action violente et « …afficher plus de contenu…

Vers 18 : « villes »/ « viles » => rimes qui indique que les choses vile sont les villes. Pour B, la poésie doit se nourrir de choses sans charme pour les anoblir. Vers 19 : « s’introduit en roi » comparaison du Soleil qui met en valeur le poète. « sans bruit et sans valets »=> passe partout, peut voir ce que les autres ne voient pas ou ne jugent pas important « les choses les plus viles »v.18. Il peut se glisser partout ce qui lui donne une certaine puissance. Vers 20 : « tout » x2=> le Soleil/ le Poète est passe-partout, il se nourrit de tout ce qu’il voit pour son inspiration.Bilan de strophe : Comme l’indique sa taille, cette strophe sert de conclusion. Elle joint les point centraux des deux strophes précédentes et montre le lien étroit entre le Soleil et le