Spleen – baudelaire – les fleurs du mal - charles baudelaire
Ds ces 2 vrs plus de comparant ni de comparaison, images se rapprochent de hallucination et annoncent quatrains suivant. Pluriel décrit idées noires du poète qui envahissent son esprit, ns voilà paysage intérieur du poète.Ici nos cerveaux qui remplacent nos esprits expriment tjr appartenance à l’humanité. « des cloches…hurlement » cde vers = prop princ. Allocution adverbial « tout à coup » marque basculement temporel, qqch incontrôlable se produit. Cloches = sjt verbes sauter et lancer = appartient champs lexical énergie désespérée, accompagnées terme furie = annoncent la crise.Allitération en « K » produisent sonorités agressives. On entre paroxysme crise avc « affreux hurlement » = douleur qu’il ne parvient plus à contenir. Ces hurlements montent vers le ciel comme s’il suppliait, …afficher plus de contenu…
Tiret permet de mettre en valeur me 4in «anciens corbillards » évoquent mort et « sans tambours ni musique » marque poids de la défaite. Lenteur lugubre dans ce défilé de corbillard. « Mon âme » avc utilisation de cet adj possessif marque la solitude du poète face à son angoisse. Advr « lentement » renforce lenteur, « l’espoir » placé en fin de vers en contre rejet est mis en valeur mais permet aussi la mise en valeur de ce qui suit. « Vaincu, pleure » termes qui servent à définir espoir sont péjoratifs. + Despotique suggère tyrannie. Enfin dernier vers du poème « sur mon…drapeau noir », passé esprit à cerveau puis crane qui symbolise corps passif, annihilé par l’Angoisse. A nouveau « mon » = solitude. « Son drapeau noir » = mort de l’Espoir. Victoire