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Tu pourrais donc faire des parties comme (je ne met rien dans l'ordre):
Aborder la mémoire collective par un journal intime fictif; comment la compassion soutient l'argumentation; le droit de vivre: un droit fondamental pour l'auteur; un narrateur particulier,...
Tu peux aussi parler du lyrisme et du réalisme de l’œuvre, du personnage-narrateur, d'un personnage posé en victime, des lois de l'époque 1825-1830, du style "journal intime" que prend le roman, des effets d'oralité, du roman comme roman engagé...
Le livre est l’histoire d’un homme qui a été condamné a mort et, il raconte ce qu’il vit pendant les dernières semaines de sa vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu’il a fait pour être condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut dire être condamnés à mort.
Il nous raconte sa vie en prison ; nous parle de ses sentiments ; peurs et espoir, de sa famille ; sa fille, sa femme et sa mère.
Il raconte aussi quelques passages de son passé et cesse d’écrire quand arrive le moment de l’exécution.
Tout les Hommes ont le droits à la parole, celle-ci permet d'exprimer nos sentiments, nos envies et dans ce cas, elle sert a la justice pour accusé le condamné à mort et pour lui son innocence. Dans ce récit la parole est utilisée à pleins de reprise pour illustré les émotions du condamné, comme par exemple quand il se rappel de ces souvenirs d'enfance avec sa voisine (Pépita) dont il était amoureux mais aussi comment il vivait avant qu'il ne soit condamné à mort. Le personnage du roman est un être ordinaire, ni un héros, ni un truand. Il semble cultivé, il sait lire et écrire et connaît même quelques mots en latin. La richesse de son vocabulaire fait contraste avec l’argot parlé par le friauche ou chanté par la jeune fille. Mais on ne