SS Charlemagne
Le SS Française de Charlemagne
Dans l'une des histoires moins connues et les plus inhabituelles dans le cadre de la Seconde Guerre mondiale, il existait autrefois une division entière composée uniquement de volontaires et même des officiers français du Waffen-SS. La 33e division de grenadiers SS Charlemagne (1er français), communément appelée la Division Charlemagne, a été nommé d'après le chef antique et héros franc de tradition germanique, obéissant à un moment où la France et l'Allemagne étaient une nation et un peuple connexes. Ce sont des hommes qui détenaient des convictions d'extrême-droite politique, des techniciens qualifiés des unités militaires français vaincus, et même certains qui voulaient juste voir de l'action au cours de la guerre et tout simplement fini sur le mauvais côté. Les Allemands savaient qu'ils ne pouvaient pas les utiliser contre les Alliés occidentaux en raison de forts liens culturels et la puissance de la cause française libre, alors que les hommes Charlemagne se sont battus pour la distinction douteuse contre les Soviétiques sur le front de l'Est. En effet, dans les derniers jours du Troisième Reich, ils étaient parmi les derniers défenseurs de bunker d'Hitler à Berlin. Heinrich Himmler a voulu intégrer tous les volontaires étrangers dans la Waffen-SS par nationalité, qui comprend déjà un certain nombre de volontaires français depuis le 23 juillet 1943. La Division Charlemagne a remplacé principalement la Légion des volontaires français contre le bolchévisme (LVF), qui a existé depuis 1941 (Bishop 186). La LVF se composait de collaborationnistes, de Français de droite, et de prisonniers de guerre qui a préféré la lutte contre le travail forcé, tous qui voulaient aider la cause nazie au début de l'opération Barbarossa, l'invasion de l'Union soviétique. Ces hommes ont combattu près de Moscou en Novembre 1941 et ont mené des tâches anti-partisanes dans la République Biélorussie Socialiste Soviétique. La LVF