Stendhal le rouge et le noir chapitre 41
Nous relevons l’utilisation du plus que parfait « avait été » démontrant que Mme de Rénâl ne sera jamais plus sa mère spirituelle car il a tenté de la tué. Julien souligne la violence de son crime avec les terme « crime, atroce, prémédité ». La brièveté de ses phrase appuie sur ses idée tranchante, inattaquable. Nous retrouvons la répétition de la marque de politesse ironique « messieurs les jurés », visant a provoquer ses jury. Enfin, Julien met en avant la mort avec l’allitération en [m] « mertier, mort, messieurs ». Ce mouvement se caractérise par la grandeur de son crime et par sa seule issu, sa mort. Après s’être accusé, Julien accuse la …afficher plus de contenu…
Plaçant aussi une antithèse entre l’avocat général et les femmes. Ainsi il dévoile sa préférence avec la gente féminine, les exhortant des classes sociales, leurs attribuant un traitement de faveur. Nous poursuivons par une longue énumération conclusive lors des dernière phrases produisant un effet de discours remplie abordant tout les sujets important de la société, débordant sur son procès personnelle. L’amour ressenti par Julien pour Mme de Rénâl poursuivra toujours, nous le constatons par la ponctuation de longévité « ... », mettant en suspens leur relation. La réaction du publique se caractérise par une gradation « pleure, crie, évanouissement » montrant l ‘exclusivité des ressentis, et l’importance du sujet traité. L’extrait s’achève sur l’évanouissement de Mme